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L'enquête se poursuit après l'explosion d'un bar du centre-ville de Sartène, dans la nuit du jeudi 2 au vendredi 3 février. Dans un communiqué de presse, le parquet d'Ajaccio confirme trois interpellations, dont une personne incarcérée dans la soirée de ce samedi 4 février.
La décision, ce mardi 31 janvier, d'accorder un aménagement de peine à Pierre Alessandri est "un grand soulagement", réagit son avocat Eric Barbolosi. "Pour la première fois l'État, dans ce dossier, a adopté un principe de neutralité", souligne-t-il.
La chambre d'appel d'application des peines antiterroriste accepte, ce mardi 31 janvier, la demande d'aménagement de peine de Pierre Alessandri. Âgé de 64 ans, il est détenu depuis 24 ans pour l'assassinat du préfet Érignac et libérable depuis 2017.
Le Gazélec d'Ajaccio est placé en liquidation judiciaire annonce le parquet, ce lundi 30 janvier. Le 20 décembre dernier, le tribunal de commerce avait constaté l'état de cessation de paiement du club et ouvert une procédure de redressement judiciaire.
La famille de Julie Douib a dit son soulagement à l'issue du procès en appel qui condamne, ce vendredi 27 janvier, Bruno Garcia-Cruciani à la réclusion criminelle à perpétuité assortie de 22 ans de sûreté et au retrait de l'autorité parentale pour l'assassinat de la jeune femme, le 3 mars 2019.
La Cour d'assises de Corse-du-Sud confirme la peine prononcée en première instance. Bruno Garcia-Cruciani est condamné à la réclusion criminelle à perpétuité, assortie de 22 ans de sûreté, pour l'assassinat de Julie Douib, le 3 mars 2019 à L'Ile-Rousse. Il est déchu de son autorité parentale.
L'avocate générale a requis, ce vendredi 27 janvier, la réclusion criminelle à perpétuité, assortie de 22 ans de sûreté, à l'encontre de Bruno Garcia-Cruciani, jugé en appel pour l'assassinat de Julie Douib le 3 mars 2019, à L'Ile-Rousse.
Au 4e jour du procès en appel de Bruno Garcia-Cruciani pour l'assassinat de Julie Douib, en mars 2019 à L'Ile-Rousse, les témoignages d'amies de la victime ont mis en lumière les défaillances dans la prise en charge des enfants le jour du drame.
C'est un témoignage inédit. L'ex-compagne de Bruno Garcia-Cruciani, qui a vécu 7 ans avec lui, a raconté l'enfer qu'il lui a fait subir à la Cour d'assises de Corse-du-Sud, ce mardi 24 janvier. En première instance, elle n'avait "pas eu la force" et avait fait lire une lettre.
Au deuxième jour du procès en appel de Bruno Garcia-Cruciani, ce lundi 23 janvier, un expert psychiatre a décrit sa "personnalité paranoïaque inquiétante" à la Cour d'assises d'Ajaccio. En première instance, il a été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité pour l'assassinat de Julie Douib.
La question du retrait de l'autorité parentale de Bruno Garcia-Cruciani sur ses deux fils est au cœur des débats de son procès en appel. Condamné en première instance à la réclusion criminelle à perpétuité pour l'assassinat de Julie Douib, il dit et répète avoir "fait appel pour [ses] enfants".
Le procès en appel de Bruno Garcia-Cruciani s'est ouvert ce vendredi devant la Cour d'assises d'Ajaccio. Condamné en première instance à la réclusion criminelle à perpétuité pour l'assassinat Julie Douib, il estime avoir servi "d'exemple" et ne pas avoir eu un procès "juste et équitable".
Le procès en appel de Bruno Garcia-Cruciani s'ouvre ce vendredi 20 janvier devant la Cour d'assises de Corse-du-Sud, à Ajaccio. En 2021, il a été condamné à la peine maximale : réclusion criminelle à perpétuité, assortie de 22 ans de sûreté pour l'assassinat de son ex-compagne, Julie Douib.
Le procès en appel de Bruno Garcia-Cruciani s'ouvre ce vendredi 20 janvier devant la Cour d'assises de Corse-du-Sud, à Ajaccio. En juin 2021, il était condamné à la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d'une peine de sûreté de 22 ans pour l'assassinat de son ex-compagne, Julie Douib.
Le procès en appel de Bruno Garcia-Cruciani s'ouvre ce vendredi 20 janvier devant la Cour d'assises de Corse-du-Sud, à Ajaccio. Un moment vécu comme "un deuxième tsunami" par Lucien Douib, le père de la victime, qui espère une "condamnation à la hauteur, comme en première instance".
Disparu depuis mercredi après-midi, Gino M, 69 ans, était activement recherché par ses proches. Il a été retrouvé par les gendarmes le lendemain matin près de l’ancien pénitencier de Coti-Chjavari.