Patrick Chenais
Douze ans après « Il est où Ferdinand ? », Patrick Chesnais raconte sa lente reconstruction dans « La vie est belle, je me tue à vous le dire »
Le vendredi 13 octobre 2006, à 3 heures 19 du matin, Porte d’Auteuil, à Paris, Ferdinand Chesnais, 20 ans, trouvait la mort dans un accident de la route. Au volant, un ami ayant un taux d’alcoolémie de deux grammes (quatre fois la norme autorisée) qui avait pris le périphérique à contre-sens.
Dans ce livre confession qui fait suite à « Il est où Ferdinand ? », Patrick Chesnais se penche sur son passé et envisage son avenir avec perplexité. Il y a des larmes, des bizarreries, des brèves, des (trop) longues, des silences, des cris, des chuchotements, de l’humour, beaucoup d’humour, et plein d’autres choses imprévisibles.
Mémoires, récit impressionniste, inventaire sous forme d’un journal écrit au jour le jour... Qu’importe le flacon pourvu que Patrick Chesnais distille sur un ton qui n’appartient qu’à lui ses plus intimes expériences : la vie, l’amour, la carrière, la création mais aussi ses passions. Ici, Patrick Chesnais se raconte avec la parole décomplexée et libre qui est la sienne.