Le New York de Sandrine Mehrez- Kukurudz notre Ambassadrice Normande
Installée depuis 8 ans à New York, Sandrine Mehrez-Kukurudz auteure et conceptrice d’évènements nous embarque dans ses premiers souvenirs dans Manhattan.
Pour « Les Normands du bout du monde », Sandrine Mehrez-Kukurudz a fouillé dans sa mémoire pour retrouver ses premières sensations dans la ville de New York, bien avant de s’y installer il y a 8 ans avec son mari et ses deux filles. C’est dans les allées de Central Park, que remontent ses premiers souvenirs dans la Grosse Pomme : « c’était un vrai bonheur, parce qu’il se passe pleins de choses dans ces allées à Manhattan. Et je continue à dire que c’est là où il faut se perdre.»
C’est comme à la télé, on ne vous a pas menti
Après cette balade dans central Park, les premières odeurs typiques arrivent aux narines de notre expat : « des odeurs d’alimentation, avec tous ces petits commerces qui vendent dans la rue. L’odeur assez forte de pizzas, de hamburgers, de shawarmas, parce qu’il y en a plein partout ». Et un peu plus tard, c’est au détour d’une avenue qu’elle s’arrête devant un concert improvisé. Un groupe qui tape sur des barils en plastique. Un de ces concerts : « avec deux bouts de bâtons et qui sont juste magiques. » Et si New York est bien connu pour être la ville du spectacle, Sandrine de rajouter : « c’est comme à la télé. On ne vous a pas menti »
Pour reprendre le titre d’un des livres de notre auteure, « l’atelier au fond de la cour », c’est dans les cours cachées qui se trouvent les plus beaux jardins de Manhattan, et il faut prendre le temps de les dénicher. Parmi les petites pépites de Sandrine, un restaurant juste derrière Time Square : « vous faites une avenue, deux petites rues, et vous tombez sur un truc de dingue, un restaurant italien, tenu par la même famille depuis 60 ans, 70 ans avec un jardin et une fontaine italienne. » Avant de laisser notre Ambassadrice Normande à ses auteurs francophones dont elle assure la promotion à New York, un dernier détour par Elisabeth Garden au sud de la ville : « C’est un jardin qui a failli être démoli 20 fois, un jardin un peu sauvage, qui a été pris d’assaut par les artistes. » Et c’est dans ce petit bijou au milieu des herbes folles que nous laissons Sandrine Mehrez-kukurudz avant de la retrouver demain pour un nouvel épisode des « Normands du bout du monde » sur France bleu Normandie.
- International
- Afficher plus d'élements