Melbourne : l’école et les codes avec Thomas Mercier

C’est avec sa femme et sa fille, âgée alors de 4 ans, que Thomas Mercier pose le pied à Melbourne en 2018.  Si l’ex Ebroïcien a souhaité changer de vie en s’installant à l’autre bout du monde, il souhaitait aussi que sa fille vive, comme lui, l’expérience d’une école anglo-saxonne. Bien que papa garde un super souvenir de son enseignement Californien,  il reste bluffé par l’école Australienne : « Les écoles ici sont extraordinaires. Ils commencent leur journée à 9 heures. Ils ont beaucoup d’activités tournées vers la confiance en soi, énormément d’activités créatives. On a eu droit à une visite de l’école, et là je me suis pris la calque de ma vie. Je leur ai demandé si il n’ y avait pas une place pour moi.»

A l’école ici ils sont tous en uniforme et c’est une très bonne chose

Visiblement sous le charme du programme scolaire, Thomas  l’est  aussi quand on évoque les infrastructures et autres codes  de vie à l’école : « Ils ont tous des iPads, et des tableaux digitaux….et puis il y a l‘uniforme aussi. L’uniforme fait son effet. A l’école ici ils sont tous en uniforme et c’est une très bonne chose. Il n’y a pas de différenciation sociale.» C’est donc un 10/10 pour l’école Australienne, et si en plus le  proviseur s’y met : «  il a 35 ans, super beau gosse  avec un sourire ultra Bright, » what else.  

Si l’école à Melbourne sort un peu des codes européens, la vie des Australiens également. Dans la ville de Melbourne très sportive, Thomas le reconnait volontiers : «  on se rend compte que les Australiens vivent dehors et facilement à 6 heures  du matin, on peut les retrouver à l’extérieur. » Et pour les activités en extérieur, il y à Melbourne l’embarras du  choix. Entre la voile, la natation et le VTT pas de quoi s’ennuyer,  ce à quoi se rajoute  le «  Footy », le sport national en Australie. Masi ne comptez pas sur Thomas pour nous expliquer : «  c’est un mélange de football et de rugby , j’ai pas tout compris. »