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Le cichlidé zébré. Les poissons aussi ont des chagrins d’amour

À retrouver dans l'émission
- Mis à jour le
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Frédérique Le Teurnier et Denis Faroud s’intéressent également à la réouverture de L’apothicairerie de Catherine de Médicis et aux pistachiers qui reviennent en France

© Maxppp -

Au sommaire aujourd’hui :

- Le cichlidé zébré. Les poissons aussi ont des chagrins d’amour

- Chenonceau. Réouverture de L’apothicairerie de Catherine de Médicis

- Les pistachiers. Ils reviennent en France !

*

• Le cichlidé zébré. Les poissons aussi ont des chagrins d’amour

C’est ce qu’ont trouvé des chercheurs de l’université Bourgogne Franche-Comté. Plus précisément, en se penchant sur le cas d'un petit poisson d’Amérique centrale de quelques centimètres, le cichlidé zébré, dont le nom scientifique est Amatitlania siquia.

Chloé Laubu, Philippe Louâpre et François-Xavier Dechaume-Moncharmont ont démontré que ce petit animal monogame éprouve un « chagrin d'amour » lorsqu'il est séparé de sa moitié. 

► Pour en parler : Chloé Laubu, docteur en biologie du comportement animal et 1er auteur de cette étude scientifique.

► A lire également : Les poissons aussi ont des chagrins d'amour 

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• Chenonceau. Réouverture de L’apothicairerie de Catherine de Médicis

Chenonceau célèbre les 500 ans de la naissance de Catherine de Médicis et lui rend hommage, en ouvrant le 15 juin l’Apothicairerie de la Reine à l’emplacement même où elle a existé, dans le Bâtiment des Dômes. 

Une apothicairerie reconstituée de toutes pièces mais semblable à celle qui y existait au XVIe siècle, lorsqu’elle résidait là. 

Les boiseries ainsi que sa collection de 500 bocaux, pots et mortiers proviennent d'un ensemble racheté à un palais florentin et a nécessité 14 mois de travail. 

► Pour en parler : Caroline Darrasse est la directrice de communication du château

► Aller + loin : le site internet du château de Chenonceau 

*

• Les pistachiers. Ils reviennent en France !

Elles poussent à l’état sauvage en France, et pourtant, les pistaches de l’apéro à la française viennent de l’autre bout du monde. Pour y remédier, une poignée d’agriculteurs réintroduit le pistachier en Provence, un moyen aussi de se préparer au changement climatique. 

Dans le Lubéron, Jean-Louis Joseph a planté au début de l’année 600 plants de pistachiers. La première récolte n’est attendue que dans cinq ans. 

Ce fruit à coque était déjà cultivé en Provence dans l’Antiquité, lorsqu’un gouverneur romain en a rapporté de Syrie.

► Pour en parler : Jean-Louis Joseph

► A lire également : Une journée professionnelle sur la relance de la culture de la pistache en Luberon

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