Euro 2018 : Zoom sur le handball féminin

Au sommaire aujourd’hui :

- Euro 2018. Zoom sur le handball féminin

- Les bouchées gourmandes. Une façon de faciliter les repas des personnes âgées.

- Nos objets cultes. Retour dans le passé

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Début aujourd’hui de l'Euro féminin de handball. Une compétition à suivre jusqu’au 16 décembre.

Ce soir à lieu à Nancy, le match d’ouverture qui oppose la France, championne du monde en titre à la Russie, championne olympique en titre.  Jamais sacrées championnes d’Europe, les bleues visent le doublé avec un premier titre continental sur ce grand événement jamais organisé en France.

Mais outre la confirmation de leur titre mondial, la reconnaissance de leur sport au féminin et  l'amour du public français, les filles espèrent gagner un ticket direct pour les Jeux.

Peu de droit à l'erreur

La formule de l'Euro, six matchs de poule, en deux phases, qui conduisent aux demi-finales, ne donne guère de droit à l'erreur. 

Autant les Françaises avaient pu se permettre de perdre sans frais leur premier match au Mondial-2017 contre la Slovénie (de nouveau dans leur poule de quatre cette année, avec le Monténégro), autant un échec contre les Russes les mettrait d'emblée en position délicate car ce résultat sera conservé lors de la deuxième phase de poule à Nantes (à partir du 6 décembre). 

Les 4 favoris sont la France, la Russie, la Norvège, et les Pays-Bas. Attention tout de même aux outsiders comme le Danemark, la Roumanie, la Suède et l'Espagne qui espèrent créer la surprise.

► Pour en parler : Béatrice Barbusse, secrétaire générale de la fédération française de handball

► En savoir + : le site internet de la fédération française de Handball

► Aller + loin : le site internet de la compétition 

► A lire également : Euro de handball 2018 : le hand féminin en cinq questions

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C’est à l'Ehpad Korian-Les Parasols de Saint-Georges-de-Didonne, en Charente-Maritime, que l’on expérimente une nouvelle façon de manger. 

Les cuisiniers de l’établissement ont imaginé des "bouchées gourmandes" qui facilitent les repas des personnes âgées. 

Des ronds pour l'entrée, des carrés pour le plat, des triangles pour le dessert. Le menu du jour est passé à la Moulinette puis le chef cuisinier ajoute un gélifiant à base de graine de caroube. Un coup d’emporte-pièce et les assiettes peuvent être dressées.

Cette technique du « manger-main » se développe de plus en plus dans les maisons de retraite car elle permet aux résidents atteints de maladies neurologiques qui leur font peu à peu perdre l'usage de la fourchette de préserver leur autonomie.

► Pour en parler : Sébastien Prévot, chef cuisinier à l'Ehpad Korian-Les Parasols

► A lire également : Le manger-main, pour redonner de l'autonomie aux résidents des maisons de retraite

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Nous avons tous grandi sans ordinateur, sans téléphone portable, sans GPS … C’était l’époque du tourne-disque, du Polaroïd, du téléphone avec fil, du minitel, des bons points etc … 

Eric Alary vient de sortir un livre chez Larousse, Nos objets cultes, l’occasion pour Une heure en France de replonger dans le passé.

Vous écoutiez de la musique sur un tourne-disque, rangé à côté d’un vieux téléviseur plus profond que grand, votre Polaroid® dans un tiroir. Vous tiriez sur le fil du téléphone pour un peu plus d’intimité, la cuisine était en Formica. À cette époque, on réglait nos achats en francs, on utilisait des cabines téléphoniques.

Bref, on était au XXe siècle… Un XXe siècle que sont venus révolutionner le stylo-bille, la machine à laver, la minijupe, le jean, le Minitel, le Caméscope®, le baladeur…

Tous ces objets sont des témoignages du temps qui passe, d’une société presque révolue. À partir de quand avons-nous changé de monde ? Quand est-on passé à l’ère du numérique ? Tel est le fil conducteur de cette balade visuelle qui raconte sous un angle inédit l’histoire de nos enfances, de nos étés, de nos rentrées, de nos jeux et de nos rêves. 

Cet ouvrage fait aussi le récit de nos vies d’adultes et explore la petite histoire quotidienne de chaque objet pour comprendre la grande.

► Pour en parler :  Eric Alary