Un mystérieux monolithe installé sur la presqu'île d'Ambialet dans le Tarn
Après Toulouse, un nouveau monolithe a été installé dans la région, cette fois sur la presqu'île d'Ambialet dans le Tarn. Installé dans la nuit de vendredi à samedi, personne ne sait encore qui est à l'origine de cette création.
La série d'apparition des monolithes "frappe" maintenant le Tarn. Un de ces mystérieux objets est en effet apparu dans la nuit de vendredi à samedi sur la presqu'île d'Ambialet, un lieu protégé et très touristique de la région, connu notamment pour sa célèbre chapelle du Prieuré qui surplombe la rivière du Tarn.
Plus de deux mètres
Le monolithe en question fait plus de deux mètres et est installé sur le promontoire rocheux du Prieuré de la presqu'île, avec une vue imprenable sur la vallée environnante.
Et comme c'est bien souvent le cas ces derniers temps, personne ne sait qui est à l'origine de cette mystérieuse installation. L'association Mato-Grosso qui gère le site touristique est en tout cas ravie et se félicite du joli coup de publicité qu'offre le monolithe.
Selon des riverains et un courrier adressé à nos confrères de La Dépêche du Midi, les auteurs du bloc d'acier auraient posé cette oeuvre d'art comme "un tableau d'artiste", un symbole pour mettre en avant le patrimoine de la région et les acteurs de la culture. L'emplacement est donc tout particulièrement bien choisi.
Selon Gérard Cadars, le président de l'association Mato-Grosso, plus d'une centaine de passants étaient sur place ce dimanche pour admirer le monolithe et se prendre en photo avec.
Et sur les réseaux sociaux, le bloc d'acier fait évidemment fureur. Les messages et les vidéos se multiplient depuis ce week-end.
C'est une super publicité pour nous, et en plus le message est très sympa. On ne peut qu'approuver cette initiative qui attire encore plus de monde sur ce très beau lieu touristique" - Gérard Cadars, le président de l'association Mato-Grosso à Ambialet.
Reste maintenant à savoir combien de temps le mystérieux monolithe va rester sur place. Tous les précédents, y compris celui apparu à Toulouse il y a presque deux semaines, sont ensuite disparus quelques jours après.