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La nouvelle éco : le vin, produit essentiel, a sa nouvelle boutique à Charleville-Mézières

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L'Oenoteck a ouvert ses portes le 17 novembre à Charleville-Mézières, en plein confinement. Le gérant, Nicolas Riquet, ne pensait pas pouvoir débuter son activité. Mais le vin est considéré comme produit essentiel.

Nicolas Riquet dans Oenoteck Nicolas Riquet dans Oenoteck
Nicolas Riquet dans Oenoteck © Radio France - Alexandre Blanc

Dans les rues piétonnes du centre-ville de Charleville-Mézières, à deux pas de la librairie Rimbaud qui n'accueille ses clients que pour les retraits de commandes, les portes de l'Oenoteck sont ouvertes, rue Irénée Carré.  

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Le nouveau marchand de vin a ouvert en plein confinement, le 17 novembre dernier. Ancien sommelier d'un restaurant gastronomique, Nicolas Riquet pense à créer sa boutique de vins depuis 15 ans. Tout s'est accéléré d'un coup. Mi-octobre, il trouve un local, alors que plane la menace du reconfinement.  

Je ne pensais pas pouvoir ouvrir. Et par chance, je peux vendre et  payer mes charges – Nicolas Riquet, gérant de l'Oenoteck  

Car contrairement aux livres par exemple, le vin est considéré comme un produit essentiel. "En effet, on est sur une boutique de produits essentiels", sourit Nicolas Riquet. "Le vin fait partie de la culture française et ils ont bien fait, mais je suis désolé pour d'autres commerçants qui malheureusement ne peuvent pas ouvrir"

Dans une  rue piétonne désertée, les clients restent rares. "Mais le peu de monde qui passe s'arrête", se félicite Nicolas Riquet.   

L'Oenoteck, vend du vin, du champagne, des spiritueux et propose beaucoup de références bio et sans sulfite, de 7 euros à 300 euros la bouteille. Nicolas Riquet ne peut pas encore organiser des dégustations mais le fera lorsque le déconfinement sera venu.  

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