Un Meurthe-et-Mosellan interpellé, soupçonné d'avoir participé à un projet d’attentat contre Emmanuel Macron
Quatre personnes en tout, membres présumés d'un groupe proche de l'extrême droite identitaire, ont été interpellées mercredi 20 janvier, par la direction générale de la sécurité intérieure, selon l'Agence France Presse. Des armes auraient été retrouvées.
"Dans ce dossier de 2018, neuf personnes sont déjà mises en examen pour association de malfaiteurs terroriste criminelle ", selon des informations du Journal Le Parisien /Aujourd'hui en France.
Ce mercredi, quatre personnes, membres présumés des "Barjols", un groupe proche de l'extrême droite identitaire, ont été interpellées par les services de la DGSI, Direction générale de la sécurité intérieure, prévient l'Agence France Presse, qui cite "une source judiciaire et proche de l'enquête".
Un groupe voulait s'en prendre au Chef de l'Etat lors de ses déplacements dans l'est de la France
Des personnes interpellées en Meurthe-et-Moselle, en Haute-Saône et dans le Morbihan. "Au moins un d'entre eux est ancré dans la mouvance d'ultradroite, voire nazie", explique à l'AFP la source proche de l'enquête, qui ajoute "pas mal d'armes, dont le statut est en train d'être défini, certaines détenues légalement, d'autres a priori pas ont également été retrouvées par les enquêteurs lors de ces interpellations", selon cette source.
Selon le Parisien, les quatre hommes arrêtés cette semaine âgés de 26 à 42 ans, sont "soupçonnés d'avoir participé au projet d'attentat contre Emmanuel Macron en novembre 2018". Un groupe voulait s'en prendre au Chef de l'Etat lors de ses déplacements dans l'est de la France lors d'une itinérance mémorielle sur le centenaire de la fin de la Grande Guerre.