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Christophe Ferrari (PS) "Je ne suis pas l'otage d'Éric Piolle, Éric Piolle n'est pas mon otage"
Un an après son installation à la tête de la Métro, la métropole grenobloise, le socialiste Christophe Ferrari qui travaille de concert avec le maire écologiste de Grenoble, dresse un bilan positif de sa majorité composée de toute la gauche, une alliance devenue si rare en Isère.

Alors qu'en mars 2014, les sondages annonçaient l'élection du socialiste Jérome Safar à la mairie de Grenoble et que le paysage politique du sud Isère imaginait la réelection de Marc Baietto à Eybens et donc à la métro, les électeurs en décidaient autrement. L'écologiste Éric Piolle était élu à Grenoble, le socialiste Marc Baietto, battu à Eybens, était contraint de céder son fauteil à la tête de la Métro à un certain Christophe Ferrari, maire PS de Pont de Claix.
Un an plus tard, celui qui est à la tête d'une métropole de 440.0000 habitants, répartis sur 49 communes. Une intercommunalité qu'il dirige grace une majorité composée de socialistes, d'écologistes, de communistes et de représentants des petites communes.
Comment Christophe Ferrai a-t-il réussi à faire alliance avec les écologistes quand ceux ci refusent tout accord avec le PS ailleurs en Isère ? le président de la métropole répond sur France Bleu Isère.
Il évoque également le congré du PS et annonce qu'il votera pour la motion défendue par le "frondeur" Christian Paul, et non pas pour celle défendue par le premier secrétaire Jean-Christophe Cambadélis et soutenue par tout le gouvernement dont Laurent Fabius dont Christophe Ferrari est un proche.