En Bretagne, le mouvement politique "En marche" d'Emmanuel Macron divise

Emmanuel Macron a lancé son mouvement politique "En marche" . Le ministre de l'économie a soutenu à Amiens dans une réunion en petit comité que cette initiative n'était "pas à droite, pas à gauche". Emmanuel Macron a souligné que "Ce ne sera pas un mouvement pour avoir un énième candidat à la présidentielle" mais en tout cas ça y ressemble fortement.

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Une superstar chez les entrepreneurs Bretons

Jean- François Pelate n’en pouvait plus d’attendre. Cet entrepreneur de Dinan a quatre  magasins d’optique. Il militait déjà sur internet pour qu’Emmanuel Macron lance son mouvement. Aujourd’hui Jean François Pelate est fier de son champion "Il a prouvé qu'il n'avait pas peur du changement contrairement à d'autres, s'il souhaite des militants j'en ferai partie"

"Si on peut dans ce mouvement aborder pleins de sujets et faire avancer les choses ce sera déjà bien" Christel Le Coq entrepreneure Brestoise

Christel Le Coq a monté depuis 2 ans une start-up de sex toy connectées en 2014 à Brest. Elle a participé à Las Vegas au salon des entrepreneurs (Consumer Electronic Show) accompagnée d'Emmanuel Macron. Elle est prête à s’investir dans le mouvement "Il est jeune, il vient sur le terrain, il est extrêmement brillant, il faut tous qu'on participe pour faire avancer les choses"

Les anciens de chez Gad pas convaincus

Si beaucoup d’entrepreneurs sont prêts à aller coller des affiches pour Emmanuel Macron et à défendre ses idées, ce n’est pas le cas des anciens de chez GAD en Bretagne. Ils se souviennent encore de la sortie du ministre de l’économie en 2014 "Il y a dans cette société, une majorité de femmes, il y en a qui sont pour beaucoup illettrées" .

"Il n'est pas la bonne personne pour nous représenter" Olivier Le Bras ancien de chez Gad

Olivier Le Bras est un ancien de chez Gad et il voit d’un mauvais œil la montée en puissance d’Emmanuel Macron "Il a eu des propos blessants envers des salariés licenciées, il a un meilleur rapport avec le luxe qu'avec ce que vivent les Français,  je reste persuadé que ce n'est pas lui apportera des solutions pour la France qui souffre"