Vaccination : "C'est une autre campagne qui démarre" estime Jean Terlier, député LREM du Tarn
Le gouvernement a annoncé la mise en place de vaccinodromes, pour pouvoir accélerer la campagne de vaccination contre le Covid-19. Une politique que défend Jean Terlier, député LREM du Tarn.
C'est une phrase que l'on entend régulièrement depuis plusieurs mois : "accélérer la campagne de vaccination". Le gouvernement vient de dévoiler de nouveaux moyens pour servir cet objectif, avec le déploiement de vaccinodromes. Un plan que détaille et soutient Jean Terlier, député La République en marche du Tarn, et porte-parole du groupe LREM à l'Assemblée nationale.
"Une vaccination de masse"
Emmanuel Macron a annoncé l'élargissement de la vaccination à tous les plus de 70 ans dès ce samedi "_ce sont 3,5 millions de personnes supplémentaires qui vont pouvoir se faire vaccine_r" salue Jean Terlier, qui estime que cela permet de « rassurer les Français ». C'est « Une campagne de vaccination en accéléré, il faut s'en réjouir » commenté le député du Tarn.
Autre dispositif déployé pour accélerer la vaccination : la mise en place 35 vaccinodromes en France, en premier lieu dans les départements les plus touchés. À terme, il devrait y en avoir un par département. Selon nos informations, en Haute-Garonne ce vaccinodrome pourrait s'installer au MEETT.
"À terme, l'objectif c'est de rentrer dans une vaccination de masse" assène Jean Terlier, qui affirme ne pas connaître encore pour le moment les lieux possibles d'implantation de ces vaccinodromes chez nous en Occitanie.
"On a trois fois plus de doses sur les mois de mars, avril qui vont permettre de fournir les médecins généralistes et les pharmacies" se réjouit le porte-parole du groupe LREM à l'Assemblée nationale.
Pas de retour à la normale
Est-il possible d'imaginer une réouverture des restaurants, et des salles de spectacle dans nos départements, plus épargnés que la moyenne nationale par le Covid-19 ? "Je ne crois pas que ce soit à l'ordre du jour. Sincèrement, y compris dans notre région Occitanie, en Haute-Garonne par exemple, on a des situations hospitalières qui sont tendues" répond Jean Terlier, qui n'imagine pas de retour à la normale d'ici la mi-avril.