L'élection municipale de mars dernier à Alès confirmée par le tribunal administratif de Nîmes
La décision était attendue, le tribunal administratif de Nîmes l'a rendue ce vendredi. L’élection municipale à Alès a été validée. L'instance administrative a rejeté les recours déposés par deux candidats battus en mars dernier.
L’élection municipale d'Alès a été validée par le tribunal administratif de Nîmes ce vendredi. Une élection, dans le seconde ville du département du Gard, acquise au premier tour (près de 57%) pour la liste conduite par le maire sortant LR, Max Roustan, et Christophe Rivenq (devenu depuis premier adjoint et président d'Alès Agglo). Ce résultat était contesté par Paul Planque (le Printemps Alésien, près de 23%) et Marc Peyroche (Alès en commun, près de 4%).
Inéligibilité de Christophe Rivenq
Les recours portaient sur le rejet des comptes de campagne, l'invalidité de Christophe Rivenq (ancien directeur général des services démissionnaire, mais considéré par ses opposants comme en poste de fait), des recours qui devaient conduire le tribunal administratif de Nîmes a annuler l’élection. Des arguments rejetés. Une décision susceptible d'appel, désormais, devant le Conseil d'État.