La « dérive mafieuse » de la Corse s’invite à l’Assemblée nationale
Paul-André Colombani, le député de Corse du Sud, a porté le problème de la violence en Corse à l’Assemblée nationale. Pour autant, il n’a pas vraiment obtenu du ministre de l’Intérieur la réponse espérée.

Au lendemain de la création d’un nouveau FLNC, mais aussi dans la droite ligne de la création d’un collectif anti-mafia, du débat à l’Assemblée de Corse ou encore plus récemment ce dimanche à Corte où 800 personnes ont échangé sur la problématique, la situation de la Corse s'est invitée, mardi 1er octobre, dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale.
Paul-André Colombani, le député de la deuxième circonscription de Corse du Sud, a interpellé le Premier ministre sur la dérive mafieuse qui gangrène, selon lui, la société insulaire. « Le phénomène crapuleux de droit commun y avance » a déclaré le député nationaliste, à visage découvert et en costume. « Le nombre d'homicides en Corse en fait la région la plus criminogène d'Europe, devant la Sicile ».
Paul-André Colombani a demandé au chef du gouvernement ce que l'Etat compte faire.
Et c'est le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, qui lui a répondu.
Ma France : Mieux vivre
Après vous avoir interrogés sur les "économies d'énergie", nous avons choisi de nous intéresser à vous, via cette nouvelle consultation citoyenne, lancée avec Make.org . Que faites-vous ou que voudriez-vous faire pour améliorer la qualité de votre quotidien, de votre vie même ? Bien-être, activités physiques, alimentation, activités créatives, voyages, réorientation professionnelle, changement de vie, valeurs familiales, etc. : partagez avec les autres vos bonnes idées, actions et réflexions.