Municipales à Petit-Quevilly : comment vivre à côté d'usines comme Lubrizol ?
Petit-Quevilly, commune située à moins de 500 mètres de Lubrizol, a été touchée de près par l'incendie le 26 septembre dernier. Comment mieux alerter la population en cas de catastrophe? Faut-il déplacer les usines Seveso trop proches des habitations? France Bleu Normandie interroge les candidats.
La nuit de l'incendie de Lubrizol le 26 septembre dernier, seule une quarantaine d'habitants sur les 150 de Petit-Quevilly vivant dans un périmètre de 500 mètres autour de Lubrizol ont été prévenus. Les autres, la mairie ne disposait pas de leurs coordonnées. Comment donc améliorer le dispositif d'alerte? Et quels sont les moyens des maires en la matière?
Après l'incendie, des voix se sont élevées contre la présence d'usines Seveso seuil haut sur le territoire. Elle sont au nombre de sept dans la métropole rouennaise. Faut il les déplacer quitte à provoquer la perte de centaines d'emplois? Ou les nationaliser pour pouvoir contrôler ce qui se passe à l'intérieur?
Nous avons posé ces questions aux quatre candidats en lice pour l'élection municipale à Petit-Quevilly.
- A 7h15, William Tchamaha (liste citoyenne soutenue par LREM et le Modem)
William Tchamaha, tête de liste "Bien vivre à Petit-Quevilly", soutenu par LREM et le Modem
- A 7h30, Leïla Messaoudi (liste "Décidons Petit-Quevilly" - La France Insoumise)
Leïla Messaoudi, tête de liste "Décidons Petit-Quevilly", soutenue par la France insoumise
- A 8h10, débat entre Charlotte Goujon (Parti socialiste) et Nicolas Goury (Rassemblement national)
Charlotte Goujon maire PS de Petit Quevilly et Nicolas Goury RN