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Coronavirus : le variant Omicron devient majoritaire en Côte-d'Or et en Saône-et-Loire

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Le variant Omicron est maintenant majoritaire sur les autres variants du coronavirus en Côte-d'Or et en Saône-et-Loire, d'après le dernier bilan de l'Agence Régionale de Santé en Bourgogne Franche-Comté.

Les autotests mettent notamment en lumière l'implantation du variant Omicron en Côte-d'Or et en Saône-et-Loire Les autotests mettent notamment en lumière l'implantation du variant Omicron en Côte-d'Or et en Saône-et-Loire
Les autotests mettent notamment en lumière l'implantation du variant Omicron en Côte-d'Or et en Saône-et-Loire © Maxppp - PHOTOPQR/MAXPPP

Le dernier bilan 2021 de l'Agence Régionale de Santé fait un constat important : le variant Omicron est toujours en progression. Il est même devenu majoritaire sur la dernière semaine de l'année en Côte-d'Or et en Saône-et-Loire, et dans l'ensemble de la région Bourgogne-Franche-Comté. Un constat à l'image de la situation dans tout le pays.

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L'ARS précise dans son communiqué qu'il dépasse maintenant "les 50% de présence sur l'ensemble des criblages journaliers", réalisés depuis le lundi 27 décembre 2021.

Des taux d'incidence toujours en hausse

Très contagieux, le variant Omicron se propage et fait gonfler les chiffres de l'épidémie de Covid-19. Le taux d'incidence en Côte-d'Or est passé à 698 cas positifs de coronavirus pour 100 000 habitants, une donnée en hausse par rapport au bilan précédent, en date du 24 décembre 2021. Même situation en Saône-et-Loire, avec un taux d'incidence de 653 cas positifs pour 100 000 habitants. En comparaison, les deux départements sont en dessous de la moyenne du taux d'incidence de l'ensemble de la région, avec 736 cas pour 100 000 habitants.

Pas d'accalmie dans les hôpitaux

Du côté des hôpitaux, la situation reste tendue. En Bourgogne-Franche-Comté, 850 personnes sont hospitalisées dans le cadre de l'épidémie dont 137 en services de soins critiques et de vaccination. Encouragée notamment par les voeux du président du Conseil départemental en Côte-d'Or, la vaccination apparait toujours comme l'un des remparts pour endiguer la progression de l'épidémie. La Haute Autorité de Santé recommande désormais un délai de 3 mois pour la dose de rappel après la dernière injection. 

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