Sonia, salariée de l'ARS et grande voyageuse ferroviaire par raison et par intérêt
Témoignage de Sonia PUPIER une salariée de l'ARS l’agence régionale de santé, elle travaille à Saint Étienne, mais habite à Sail-Sous-Couzan dans le nord est du département et chaque jour elle vit une véritable aventure dans les transport en commun pour se rendre sur son lieu de travail
Le portrait c'est celui de Sonia Pupier, salariée de l’ARS l’agence régionale de santé qui travaille à Saint Étienne mais qui vit à Sail-sous-Couzan de la nord-est du département. Pour elle chaque jour, c'est la question du transport qu’il faut résoudre en priorité. Avec cette contrainte de départ, Sonia n’a pas le permis de conduire. Elle doit emprunter chaque jour les transports en commun.
Des horaires au cordeau chaque jour de travail
Ça c’est quand tout marche bien, Sonia Pupier se souvient qu’il y a un an il n’y avait plus de train entre Boën sur Lignon et Montbrison et qu’il fallait aller chercher son train à la gare de Feurs. Son retour est un vrai soulagement, mais il reste quand même le sentiment de dépendre beaucoup des transports publics.
compliqué et stressant de jongler entre les horaires de travail et ceux des transports
Et ils sont une bonne trentaine comme Sonia tous les matins à prendre le train à Boën sur Lignon direction Saint-Etienne et vice versa le soir. Sonia Pupier a quand même trouvé des solutions pour se simplifier la vie. Et l’une des solutions s’appelle le télétravail.
Le télé travail est aussi une solution alternative au transport
Alors en pesant bien le pour et le contre de son organisation, Sonia Pupier, malgré les contraintes liées a ses déplacement n’a pas envie de changer sa vie.
Sonia ne changerait son mode de vie à la campagne pour rien au monde
Et cerise sur le gâteau, le recours au transport en commun outre l’aspect environnemental lui fait économiser l’obligation d’avoir une deuxième voiture pour aller travailler, c’est loin d’être négligeable dans le budget familial d’autant que son employeur lui rembourse la moitié de son billet