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Ligue 1 : Montpellier chute d'entrée face au Stade Rennais

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Six mois après son dernier match officiel, le MHSC s'est incliné de nouveau face au Stade Rennais (2-1). Les pailladins ont été battus logiquement, à l'occasion de la deuxième journée de Ligue 1.

Jonas Omlin a pourtant retardé l'échéance Jonas Omlin a pourtant retardé l'échéance
Jonas Omlin a pourtant retardé l'échéance © AFP - Damien Meyer

Pour Montpellier, privé de match face à Lyon la semaine passée, il s'agissait de la première sortie officielle, cette saison. Alors oui, on les savait privés de nombreux joueurs majeurs (Delort, Mavididi, Hilton, Cozza, Yun), mais on espérait tout de même mieux de la part des héraultais, ce samedi. Bien en place et solides durant les vingt première minutes, les pailladins ont craqué sur une percée puis un centre en retrait de Raphinha, avec un ballon directement dans les cannes de Damien Le Tallec (CSC, 22'). 

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Ensuite, et notamment après l'exclusion de Florent Mollet (42') pour un pied haut sur Faitout Maouassa, les hommes de Michel Der Zakarian ont disparu, couru après le ballon et subi les vagues. Trop timides et trop peu ambitieux pendant plus d'une heure, les héraultais auraient d'ailleurs pu prendre une valise sans un immense Jonas Omlin, auteur de nombreuses parades, et alors que les bretons ont touché les montants à trois reprises (deux barres et un poteau). 

Florent Mollet a fait preuve de maladresse, plus que de méchanceté
Florent Mollet a fait preuve de maladresse, plus que de méchanceté © AFP - Damien Meyer

Par chance et grâce à un bel état d'esprit, les montpelliérains sont restés dans le match très longtemps, avec l'espoir de revenir, d'autant plus après l'exclusion de Martin Terrier (75'). Mais Eduardo Camavinga, sur un exploit individuel (78') a finalement enterré les héraultais, en doublant la mise. La réduction de l'écart par Gaëtan Laborde (92'), de la tête sur un centre de Ambroise Oyongo, a signé un réveil trop tardif des pailladins et ne leur a pas permis de ramener des points. 

Fébrile défensivement, inexistant devant, Montpellier quitte le Roazhon Park avec une certitude : que la formation pailladine peut difficilement se permettre, contrairement à d'autres et face à une écurie pareille, d'espérer quoi que ce soit avec autant d'absents. 

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