Carburant
Le carburant est encore, pour une grande partie, dérivé du pétrole (essence, diesel) mais peut également provenir de plantes ou d'animaux (non fossilisé) comme le bioéthanol et le biodiesel. En France, le prix du carburant ne cesse de grimper en raison de la stratégie de la stratégie des grands pays producteurs de pétrole (OPEP) mais également du poids de la fiscalité sur les carburants en France (TICPE). L'État français souhaitant à terme la suppression des voitures diesel, le dernier rapport du Comité des constructeurs français d'automobiles (CCFA) constate, pour 2017, une baisse de commandes de véhicules équipés de moteurs diesel et qui s'inscrit dans la continuité d'une érosion constatée depuis 2012 (de 73% à 47,9%).
Voir aussi : Pénurie de carburant
Le gouvernement a annoncé l'application progressive d'une fiscalité sur le gazole non-routier, le carburant utilisé par les agriculteurs pour les tracteurs et autres engins. Ce projet suscite une forte inquiétude dans la profession.
Le gouvernement vient d'annoncer la fin de la défiscalisation du gazole non routier utilisé par les agriculteurs notamment. Un coup de massue pour la profession que la Coordination rurale de la Corrèze a décidé de dénoncer en manifestant jeudi prochain à Tulle.
Après Carrefour, au tour de Leclerc et Intermarché d'afficher mercredi leur refus de vendre à perte du carburant, comme souhaite le rendre possible le gouvernement. TotalEnergies a également fait savoir qu'il refusait de le faire.
Avec la multiplication des véhicules électriques, Total Energies s'adapte : "on n'enlève pas de pompes dans nos stations, maison ajoute des bornes électriques" explique le responsable régional.
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Après une première partie consacrée à l'actualité, prix du carburant et plan pauvreté, Wendy Bouchard a rendu hommage à la France des solutions, avec son invité, le journaliste François-Xavier Menage.
Le gouvernement souhaite que la vente à perte de carburants soit possible, à partir du 1er décembre, pour tenter de répondre à l'augmentation des prix de l'essence et du diesel. La mesure inquiète fortement les gérants de stations-service indépendantes.
Mobilians, syndicat des stations-service indépendantes, annonce ce lundi soir que le gouvernement s'est engagé à accompagner les petites structures, alors qu'il souhaite autoriser à partir de décembre la vente de carburant à perte.
Le gouvernement a annoncé samedi un projet de loi devant prochainement permettre aux distributeurs de vendre du carburant "à perte" afin de faire baisser les prix à la pompe. Une mesure exceptionnelle, aux effets incertains et qui est illégale depuis 1963. Voici ce qu'il faut savoir.
Le gérant de la petite station-service indépendante de Chantenay-Villedieu, en Sarthe, s'attend à très fortement souffrir si la grande distribution décide de vendre à perte du carburant, comme veut l'autoriser le gouvernement pendant six mois à compter de décembre.
Le gouvernement donne la possibilité aux distributeurs de carburant de vendre à perte pour faire baisser les prix à la pompe, qui frisent les deux euros du litre. Une décision "inadmissible" pour Bernard Eve, porte parole du syndicat professionnel Mobilians du Grand Est.
La vente de carburants à perte entrera en vigueur le 1ᵉʳ décembre pour une durée de six mois, à condition que la mesure soit adoptée à l'Assemblée nationale en octobre. Annonce faite ce lundi par Bruno Le Maire, ministre de l'Économie.
La Première ministre Élisabeth Borne a annoncé samedi que les distributeurs pourront vendre de l'essence "à perte" pendant quelques mois, afin de leur permettre de "baisser davantage les prix". Une annonce qui laisse sceptique le président de l'association 40 millions d'automobilistes.
Les distributeurs promettent de faire des efforts sur le prix des carburants qui dépasse les 2€ le litre dans certaines stations. Rémy Rodriguez, président de l'association Mon automobile club était l'invité de France Bleu Belfort-Montbéliard. Réécoutez son interview.
Face à la hausse des prix des carburants qui dure, les transporteurs routiers restent l'une des professions les plus pénalisées. En Lorraine, la FNTR appelle le gouvernement à renouveler son aide financière pour les chauffeurs routiers.
Alors que distributeurs de carburants et grandes et moyennes surfaces se réunissent ce mardi matin, TotalEnergies a annoncé qu'il prolongera en 2024 le plafonnement à 1,99 euro par litre le prix de l'essence et du diesel, "tant que les prix resteront élevés".